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Après une longue absence due à la pandémie, le mondial de l’automobile de Paris (appelé communément le salon de l’auto) a enfin fait son grand retour.

L’occasion pour nous de constater plus que jamais à quel point la voiture électrique fut à l’honneur.  

En cause, au-delà même de l’élan écologique qui ne cesse de croître, une volonté politique clairement affichée de faire disparaître peu à peu les véhicules thermiques, couplée à un prix du carburant qui ne cesse d’augmenter, au grand dam des automobilistes. 

Alors que tout porte à croire que demain sera bel et bien au tout électrique, sommes-nous sûrs que cela sera aussi facile qu’annoncé ?

Les constructeurs français arriveront-ils à obtenir une part du gâteau sur ce marché tout aussi concurrentiel, qu’en pleine expansion ?

Quant à vous, êtes-vous pour autant préparés à tous ces changements ?

 

Demain c’est loin

  

 

Les chiffres et les objectifs avancés par l’exécutif font certes mention de dates relativement lointaines (2027, 2030, et même 2035), cependant, comme vous le savez, la transition vers le 100 % électrique à quant à elle d’ores et déjà commencée.

En effet, chaque jour qui passe est un pas de plus vers ce changement.

Un changement dans lequel beaucoup veulent croire, fondant de larges espoirs en cela, tandis que d’autres, toujours sur la réserve, peinent à cacher leur scepticisme face à des promesses écologiques difficilement vérifiables pour l’instant.  

Car oui, cette volonté de migrer petit à petit vers ce qui est censé être le véhicule du futur, un moyen de locomotion plus “climato compatible” donc, est en grande partie motivé par ce besoin pressant de préserver l’environnement en limitant, autant que faire se peut, son impact environnemental.

Une stratégie néanmoins discutable, au regard du fait que la production des véhicules électriques s’avère quelque peu plus polluante que celle des engins dits thermiques, représentés par les voitures roulant encore et toujours à l’essence ou au diesel.

Fort heureusement, cela devrait en théorie être contrebalancé par un gain écologique non négligeable sur le long terme, du moins d’un point de vue de la consommation d’énergie. 

Or, cette notion est indiscutable si l’on compare l’électricité d’un côté et les carburants traditionnels de l’autre.

Cela demeure néanmoins une sorte de paradoxe auquel la meilleure réponse est peut-être le véhicule hybride rechargeable en guise de juste milieu, qui sait ?

Toujours étant, que l’on fasse partie du camp des convaincus et impatients d’œuvrer dans ce sens, ou au contraire, de ceux loin d’être acquis à ces thèses nous promettant des jours meilleurs, la machine est en marche… avec ou sans nous d’ailleurs. 

  

L’avenir de la voiture électrique en quelques chiffres

  

  

Nul doute qu’une transition de cette ampleur, teintée d’enjeux politiques, économiques et écologiques qui sont les siens, ne peut se faire en un jour.

Le pouvoir en place l’a bien compris, c’est par ailleurs pour cela qu’Emmanuel Macron fait état d’un plan sur plusieurs étapes.

En effet, citons parmi les objectifs en question le chiffre d’un million d’unités de voitures électriques produites en France à l’horizon 2027.

Puis, dans le même ordre d’idées, le palier supérieur, celui de deux millions d’unités en 2030.

Sans oublier bien évidemment l’objectif ultime : celui de la disparition purement et simplement du véhicule thermique dans toute l’Europe d’ici à 2035.

Bref, tout un programme…

  

Le passage au tout électrique, entre crainte et espoir…

  

Selon un sondage publié par l’institut Odoxa, 30 % de nos concitoyens songent sérieusement à franchir le cap de la voiture électrique.

Néanmoins, ce même institut indique que seulement 4 % l’ont fait pour l’instant.

Un constat qui pourrait donc nous faire douter des prévisions susmentionnées.

De plus, parallèlement à cette envie commune, les différents états qui forment cette communauté européenne vont être alliés dans ce vaste projet, tout en étant quelque part en concurrence, sur un marché automobile parmi les plus porteurs qui soient. 

Nous pensons notamment aux très respectables marques allemandes, telles que : Audi, BMW, Mercedes, Volkswagen, ou bien encore Opel dans une moindre mesure.

  

  

Car il ne faut pas se le cacher, il est aussi et surtout question d’argent dans cette affaire.

Vous en conviendrez, le secteur automobile français ne serait pas contre une croissance record de ses ventes lors du prochain bilan annuel.

Pour ce faire, faudrait-il encore que les différentes écuries françaises (Renault, Peugeot, Citroën, etc.) arrivent à proposer aux consommateurs des “véhicules propres” capables de rivaliser à l’échelle internationale, dans le fond comme dans la forme, avec les constructeurs automobiles chinois, japonais, américains et sud-coréens, voire suédois, tels que : Tesla, BYD, Hyundai, Toyota, Lucid Motors, Nissan, Kia, Volvo, Ford, etc.

Autrement dit, la concurrence s’annonce bien rude pour les paddocks estampillés bleu-blanc-rouge.

  

Que faire si je souhaite passer à la voiture électrique ?

  

Admettons que par conscience écologique ou qu’à la suite d’un ras-le-bol découlant des récentes pénuries d’essence à travers le pays, vous souhaitez sauter le pas et enfin acheter un véhicule électrique, que faire ?

Déjà, quitte à passer à un engin motorisé moins polluant, autant joindre l’utile à l’agréable en profitant au passage du bonus écologique et/ou de la prime à la conversion, n’est-ce pas ? 

Qui plus est, les dernières annonces en matière de nouvelle mesure sur le sujet nous promettent (pour les foyers les plus modestes) une aide passant de 6 000 à 7 000 euros.

Ensuite, après toute la partie réflexion que peut demander l’achat d’une nouvelle voiture ; SUV, berline, citadine, familiale ou crossover (électrique ou non d’ailleurs) en termes de choix en tout genre (marque, couleur, nombre de places, options, etc.) vient une étape incontournable, celle de la borne de recharge.

Un élément quasi indispensable pour qui veut recharger la batterie de sa monture, à deux, ou quatre roues motrices. 

  

  

Eh oui, il s’agit-là d’un chapitre inévitable de l’histoire et pas des moindres.

Car comment pourrions-nous parler du passage à la voiture totalement électrique, sans rappeler cet aspect qui va de pair, autrement dit : l’autonomie des véhicules électriques ?! 

En prenant en compte bien entendu le fait que ce soit une autonomie relativement limitée.

Fort heureusement, l’installation d’une borne électrique à votre domicile ou aux abords de votre copropriété peut tout à fait être réalisée en alliant à la fois la rapidité, à la fiabilité, en passant aussi et surtout par le respect des normes de sécurité.

Pour ce faire, il suffit de faire appel à des spécialistes connus et reconnus pour leur rigueur et leur savoir-faire, acquis après plusieurs années d’expérience dans le domaine de l’installation des bornes de recharge électrique. 

À l’image de notre société, MW Optic, une équipe de professionnels pouvant vous accompagner dans ce noble projet, des prémices de l’aventure, jusqu’à sa réalisation complète.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements ou à cliquer sur le lien suivant pour une demande de devis :  https://vwrmj79rmvr.typeform.com/to/AuqV2q7B?typeform-source=www.mwoptic.fr.

Nous vous attendons avec impatience !